rien qu'une migraine

Mon regard ce pencha sur la petite vie sans défend devant moi. La faim me torturait l'estomac. Il faisait froid, et les feuilles étaient déjà toute tombé une par une. Caché derrière une rocher envelopper de neige, je fixais la souris qui grignotait une noisette. Un doute s'empara de moi, prendrai-je vraiment le risque de la manger alors qu'elle était en train de ce nourrir de noisette ? Comme sa devait être dégoutant. Mais la faim me poussait tellement, que j'étais partante. Impossible de revenir sur la décision. Une bruit remua dans les fourrés, je me retournais vivement, un oiseau s'envola dans l'espace que personne ne pouvait toucher. Le ciel. Je me retournais vers la petite vermine, elle leva le museau interpellé. Non, non non ! Trop tard, elle avait pris les jambes à son coup. Je ne la laisserais pas partir, j'ai trop faim ! Sautant au dessus du rocher je me lançais à sa poursuite. Elle courrait vite, mais pas aussi vite que moi ! Elle tourna à gauche subitement, ce qui m’obligea à faire de même. La poudreuse ce soulevais lentement sous mes traces de pattes. La souris filait comme une flèche, et mes yeux peinait à la localiser. Ces petites martèlement me disais simplement ou elle ce trouvait. Je quittais une énorme forêt pour me retrouver dans une vallée. Des collines s'élevait, tandis qu'une petite rivière s'écoulait. La souris continuait de courir, et moi comme une débile je faisais de même. Mais la faim nous poussais à beaucoup de chose. Je sais ce que vous aller dire ! Ma mère me nourrissait pas, c'est sa ? Bien sur que si ! Elle n'est pas sadique au point de nous laisser mourir de faim moi et mes compères. Seulement l'hiver est une saison ou les proies ce font rare, ou ont meurt souvent de faim la journée et qu'on saute sur la première souris qui passe. Même si certaines laissais à désirer. l'éssoufflement commençait à me gagner, et j'avais mal au muscles. La souris aussi apparemment car sa vitesse commençait à faiblir, j'allais enfin pouvoir l'avoir cette petit vermine !

J'étais proche, je gagnais du terrain. Plus proche encore. Plus proche. Toujours plus proche. Puis, prenant appuie sur mes pattes arrières, je fis un bon pour lui sauter dessus. Je sentais mes pattes se refermer sur elle quand un choc me fit rouler au sol. Une douleur s'empara de mes muscles et de ma tête et je lâchais un couinement. Je relevais la tête, toujours étendu sur le sol. Une louveteaux sûrement de mon âge ce trouvait également dans la même situation que moi. Il était étendu sur le sol en face de moi. C'était un louveteau brin, qui semblait avoir la cervelle à l'envers rien quand le regardant. Je me relevais lentement, m'arrachant à un couinement. Mon ventre gronda de nouveau, me rappelant la souris qui jadis, ce trouvait ici. Elle était partit. Mon déjeuner était partis. La seule chance de me remplir l'estomac n'étais plus la. Vous savez combien de temps sa met pour trouver une souris ? Trop longtemps pour ma part. Je me tournais vers le louveteau qu'étais responsable de sa. Une étincelle illuminait mon corps. Un brun de colère naissait. Je devais me reprendre, ce n'étais sûrement pas sa faute après tout. Si sa l'étais, il aurait du regarder ou il allait. Je me dirigeais donc vers lui, le fusillant de mon regard bleu. Ma patte atteint sa tête dans une claque volontaire.

« Cervelle d'Algue ! Face de souris ! A cause de toi je meurs de faim ! » l'incendiai-je.

J'étais littéralement en train de passer la faute sur lui. Mais au moment ou je m'y attendais le moins, il ce mit à hurler des paroles inaudible pour mes pauvres petites oreilles. Il hurlait, tel un oiseau qu'on égorge. Je dirigeais mes pattes vers mes oreilles, quand allait il cesser cette horrible chose ? Il finit par s'arrêter, à mon plus gros bonheur. J'arquais un sourcil en le dévisageant, ce louveteau devait être perturber sans aucun doute. J'allais dire quelque chose, mais il sembla revenir à lui même et me fixa. Comme ci il me voyait pour la première fois. Il était vraiment trop bizarre, ci sa ce trouve il avait des voix dans sa tête qui sait ? Enfin tanpis, maintenant que je me trouvais en face de lui je ne pouvais l'ignorer. Il me demanda si j'étais nouvelle. Ouai, c'est un peu prêt sa on va dire. Mes parents on fait une nouvelle meute, c'est tout. Je suis nouvelle dans ce nouveau monde inconnu à mes yeux. Il continua de me balancer des questions qui commençait légérement à me faire douter de sa propre santé mentale. Il me demanda si je savais ou j'étais, et si j'étais de sa meute. Si j'étais de sa meute comme il avait l'air de le croire si bien, il aurait du me reconnaître. Ce louveteau était vraiment attardée. Littéralement. Et ou était-je ? Moi même je me posais la question, car je n'étais jamais venu ici auparavant.

D'ailleurs mes yeux ce posèrent pour la première fois sur le paysage. Des forêts, des vallées, des immenses plaques déserte et une rivière bordant le centre. L'odeur était douce, comme ci on n'avait rien à craindre par ici. Je m'apprêtais à lui répondre, mes mots sur le bout des lévres mais il ce remit dans son états de tout à l'heure. Je remis mes pattes sur mes oreilles, non mais qu'elle calvaire ! Wizz le roi du quizz, j'étais un peu prêt sur à cent pour cent qu'il ne comprenait même pas ses propres paroles. Je levais les yeux au ciel en lui hurlant de ce taire. S'il te plait, pour mes pauvres oreilles, tait-toi. Même les gens de sa meute devait croire qu'une biche agonisait. Il n'arrêtait pas de répéter la même chose : Wizz. Cela devait sûrement être son nom. Soudain, il ce mit à hurler comme quoi qu'il allait passer à table. Séléna sursauta en lachant ses oreilles et en remarquant la souris.

« Surement pas, je meurs de faim et je l'ai vue la première ! » Sifflai-je. Déviant sa gueule qui fonçait vers la souris d'un revers de la patte, je la saisis à mon tour d'un geste vif. J'attrapais la souris entre mes crocs et je mordais dedans à pleine dents. La nourriture ce faisait tellement rare que je ne me souvenait plus du goût de la viande. Ce délice me remplis le ventre de douceur, je me léchait les babines, le goût me revenant sur la langue. Puis je tendis le reste au louveteau. Je n'étais pas méchante, sa c'était plutôt ma sœur. Si lui aussi souffrait de la faim je savais plus que quiconque ce que sa faisait. Donc je partageais volontiers la souris avec un petit sourire.

« Bon, reprenons depuis le début. Je m'appelle Séléna, je viens de la meute Ceüs.» Lui dit-je le moins compliquer possible. Parce qu'il avait l'air d'oublier les choses d'un instant à l'autre, donc j'essayais de lui faire comprendre doucement afin qu'il puisse comprendre.

Il avait l'air d'aimer mon partage. Temps mieux, si cela le ravit. Il commença à parler, à dire que j'avais un beau nom - ce qui me fit sourire au passage- et que sa meute n'étais pas la mienne. Heureusement, dans ma meute il n'y avait que ma famille, personne d'autre. Même si je me doutais que des loups allaient très vite la rejoindre, des loups aussi sanguinaire que mes propres parents. Je me demandais même parfois si ils nous cachaient pas quelque chose à moi et à mon frère et ma sœur. J'avais une vague idée, mais je refusais strictement d'y croire. Cela trottait dans ma tête souvent. Peu être … Non, pas possible. Serait t-il possible qu'ils nous utilisent comme marionnette quand nous seront plus grand ? Je voulais dire, née pour tuer mon vrai père. Parce qu'ils parlaient souvent ensemble ma mère et Deamon et ils avaient une véritable haine pour les Shynnee. Une véritable haine pour un seule, j'en était sur est certaine. Mon vrai père, Caspian. Même ma sœur voulait lui foncer dedans alors qu'elle n'est qu'un louveteau comme moi. Enfin bref, c'était l'instant de ma vie.

Je revenais subitement à la réaliter quand Wizz s'arrêta en plein phrase. Je le regardais perplexe, qu'avait t-il voulu dire ? Pourquoi s'être arrêter en plein phrase comme sa ! Il resta silencieux pendant un bon moment, j'ai même cru qu'il ne reviendrais même pas à lui. Puis, il revient enfin à lui avec un lueur totalement loufoque dans le regard. Il était flippant, trop flippant. Il se mit à me resaluer et écorcha mon nom. Seldera ? Horvala ? Non mais il est sérieux ! Je ne m'appelais pas ainsi moi, c'était Séléna. Qu'elle cervelle d'Algue ! Je crispais la mâchoire, comment pouvait t-il oublier aussi vite les choses ? C'était impossible ! Quoi que … Je le fixais, toujours assise. Puis il ce mit à hurler de nouveau, comme ci il agonisait. Mes oreilles mourrait à petite feu à chacune de ses syllabes. Je soupirais complètement désespérer. Sur tout les cas d'on je pouvais tombais, il a fallut que se soit celui ci ! Qu'elle misère, qu'elle tristesse. Je m'approchais alors de lui et lui enfonçais la tête dans l'herbe.

« Tait toi ! Tu me donne mal au crâne ...» Grognait-je en lui maintenant la tête dans l'herbe.

Séléna garda sa patte bien ferme sur la tête du loup. Parce qu'il lui cassait vraiment les oreilles avec sa voix. On aurait vraiment dit qu'il agonisait. On lui avait dit que les Eileen était de gentille petite créatures pacifiques. Pas des fou qui criait comme ci ils agonaisaient. Belle image pour représenter la meute ! Séléna avait désormait sa propre image, et qu'elle image. Quand elle vit que Wizz c'était arrêter de raper – au passage comme il avait la tête dans l'herbe il disait des mots intelligible. Elle releva sa patte, et nota des brindilles d'herbes dans son visage. Cela la fit sourire, un petit sourire moqueur mais tout gentil. Parce que Wizz était vraiment idiot, mais marrant quand même. Il ce releva, et regarda autour de lui comme ci il avait un moment de lucidité.

Séléna arqua un sourcil comme ci une nouvelle fois elle avait à faire face à ce fou. Il lui demanda de venir chasser avec lui, parce qu'il n'avait pas mangé depuis hier. Qu'elle cervelle d'algue ! Séléna lui avait offert un bout de souris y'a quelque minute et il l'avait déjà oublier. Elle soupira, un long soupire désespéré parce qu'il l'épuisait. Mais elle demeura encore plus blasé qu'autre chose quand il l'appela Cabriole. Cabriole ? Mais non, c'est Séléna ! Elle allait exploser, mais elle ce radoucit aussi vite qu'autre chose quand il lui dit qu'elle était jolie. Surprise, elle le fixa un moment, ne sachant plus quoi répondre. Il était enfantin, gentil et tout ignorant. Elle ce rendit compte qu'en faite elle l'aimait bien. Mince alors, elle l'aimait bien ! Il était agaçant, chiant et désespérant et elle, elle l'aimait bien. Elle ce maudit pour sa, et ces yeux ce baissèrent en même temps que Wizz qui ce m'étais en position de chasse.

« Eh bien … Merci c'est gentil. » Le remercie t-elle. Puis, une petite flamme s'alluma dans ses yeux ci bleu. « Je te signal que je t'es donnée un bout de rongeur y'a pas quelque minutes ! » gronda t-elle irrité. Son attention ce reporta de nouveau sur lui. Innocent. Eileen. Naïf. Eileen. Gentil. Eileen. Chiant. Non Eileen. Comme il avait l'air de ne pas être de la même planète qu'elle, elle décida de lui faire plaisir. Ce dégourdir les pattes ne lui ferais pas de mal. Elle décida de ce mettre en position, et s'élança dans la grande vallée sans l'attendre. L'air engouffrait ses poumons, le paysage défilait devant ses yeux. La liberté. C'était tellement bon. Elle adorait sa et jamais elle ne l'échangerait. Jamais.

Pensais t-il être plus fort que Séléna ? La jeune louve courrait  à toute allure, sa faisait tellement du bien de ce lacher de temps en temps ! Les collines défilait, car cette endroit était vraiment magnifique. Et si ces parents la voyaient, que dirait t-il ? C'est pas bien Séléna rentre tout de suite ? Non ! Pas question. Elle était libre et le resterairt. Elle jouerait avec Wizz, cette cervelle d'algue qu'ils le veuillent ou pas ! Son souffle devint de plus en plus court, mais elle continuait, parce que c'était tellement rare qu'elle pouvait ce sentir libre. Sans sentir la présence pensante de sa famille pas très facile. Son frère ce prenait pour dieu, sa sœur était une sadique. Et elle, qu'es ce qu'elle était ? La plus compliqué ? Surement. L'herbe défilait en caressant sont pelage, sa faisait tellement du bien de courir et de se sentir libre ! Elle resterait bien comme sa toute sa vie, pas de leçon, pas de responsabilité. Elle était ce qu'elle était. Cette cervelle d'algue l'avait vraiment contaminé ! D'ailleurs en parlant de celui ci, elle le vie courir à la même vitesse qu'elle, avant de redoubler l'allure et de la dépasser. Il ce croyait vraiment plus rapide qu'elle ? Non pas question ! Séléna était trop fière et orgeuilleuse pour ce laisser dépasser ainsi. Elle redoubla sa vitesse, sentant le vent lui fêter le visage. Son pelage de neige faisait tâche dans la prairie verte. Elle était la neige, elle était la glace. Elle commença à rattraper Wizz, qui avait ralentit l'allure pour s'assoir sur la colline.

« C'était tellement ...» Murmura t-elle. Elle n'avait pas de mot, parce que c'était tellement rare qu'elle pouvait en profité autant. Un sourire malicieux apparu sur ses babines. Elle sauta sur Wizz pour attérir dans le sens contraire du louveteau, bien agilement sur ses pattes. Elle le regarda tout sourire. « Le premier au montagnes à Gagner.» Le défia t-elle. Sur ce elle ne le laissa pas réfléchir, elle fonça de toute ses forces dans la prairie en s'élançant à toute patte. Elle était d'humeur jouette, elle était de bonne humeur. Elle voulait ce laisser gagner par sa vie de louveteau juste une fois, rien qu'une fois. Et ce n'est pas Wizz qui allait le hurler sur tout les toits. Elle ce mit à rire à gorge déployé, et continua de courir. Le vent fouettait de nouveau son  pelage, tendit que devant elle s'élevait des montagnes abrupte. La neige dominait les piques. C'était son élément, parce qu'elle avait le pelage de neige, et les yeux bleu de glace. Elle sourit, courant de toute ses pattes. Des cavalement retentirent dans ses oreilles, Wizz n'était pas loin. Des oiseaux volaient au dessus de sa tête, dans cette immense prairie. Et comme ci le temps étiait de son coté, la neige vint ce mêler à la course. Des flocons tombèrent du ciel et venait ce poser dans l'herbe. Mince alors, Séléna était tel heureuse ? Oui, elle l'était en ce moment. Le sol ne faisait bientôt plus qu'un avec son pelage. Elle était la reine, la reine des neiges. La reine de la neige. Elle toute seule. Elle arriva au pied de la montagnes, et sauta sur une énorme roche à coté d'elle.

« Je suis la Reine des Neiges !» Déclara t-elle, ce tenant bien droite.

La neige continua de tomber, Séléna leva la tête au ciel pour recevoir quelque flocon sur le museau. Elle était complètement agiter, et folle. Elle sautilla sur son rocher, avec un immense sourire. Elle ce dévoilait ? Mais elle avait tellement de personnalité ! Tout à l'heure elle était si méfiante et froide, alors que la elle est chaleureuse et joueuse ! Elle fixa Wizz d'un regard plein de défit. Il ce mit alors à rapper, elle allait ce boucher les oreilles, mais elle comprit que sont rap était pour elle donc elle l'écouta. Séléna s'asseya, du haut de son rocher elle fixa de ces yeux de glace Wizz. Il disait qu'elle était la demoiselle du froid hivernal, diva des flocons et blancheurs des avalanches. Rien ne faisait plus plaisir à Séléna. Elle fit un immense sourire tout bête, contente que pour une fois ou lui apporte de l'importance. Elle ce mit à rire et descendit de son rocher d'un geste si rapide qu'elle attérit sur ses pattes majestueusement. Elle regarda Wizz en penchant la tête vers lui avec un gros sourire.

« Allez Cervelle d'Algue, grimpons! » Déclara t-elle. Elle ce mit à rire et tourna autour de Wizz avec une tel rapidité qu'elle en eu le tournis. Puis elle ce lança sur la pente de la montagne en courrant de toute ses forces. Elle sautait de rocher en rocher comme un chamois et regarda derrière elle avec un gros sourire bien amusant. Elle repéra Wizz non loin d'elle, et ce lança de nouveau sur la pente rocheuse. Le paysage montait peu à peu , montrant une splendeur magnifique. La blancheur du froid hivernal ravissait Séléna qui continuait son petit périple au dessus de la montagne. Plus elle grimpait, plus la neige était profonde. Elle tomba sans faire exprès, on ne distinguait plus que ses yeux bleus dans toute cette neige. Elle ce releva et admira devant elle une immense grotte profonde. Ou conduisait t-elle ? La curiosité de la louve fut piqué, et elle ce dirigea vers celle ci. Elle ce retourna pour aller appeler Wizz.

« Oh ! Cervelle d'algue ! J'ai trouvé quelque chose, dépêche toi ! » Lui hurla t-elle avant de ce rediriger vers la grotte.

Séléna était prête. Prête à partir à l'aventure. Découverte d'une grotte, et hop temps de choses pouvait ce passer ! La louve sentit Wizz la dépasser pour foncer dans la grotte. Elle n'eut même pas le temps de le voir, il était déjà l'intérieur. Elle s'avança alors à son tour pour pénétrer dans le noir complet. Elle mit du temps à pouvoir voir dans le noir, mais elle finit par distinguer le sol dur et humide. Il y avait des stalacticques et des stalagmites. La jeune louve essaya de ce remémorer lequel était lequel. Mais elle s'en souvenait plus, ces deux nom ce ressemblait aussi ! Elle évita une roche en pic – stalagmites ou stalacticques- . Il était vraiment éguiser et n'aimerais pas finir transpercer par sa. Elle ne voyait plus Wizz, la louve tenta de le localiser en bougeant la tête, mais rien. Seule ses cris d'oiseau agonisant lui faisait dire à peu prêt ou il était. Si c'était à peine audible, il était loin. Si c'était trop fort à en faire crisser les oreilles, il était juste à coté. Elle soupira en levant les yeux au ciel, il était insouciant face au danger. Séléna ce demandait comment il ferait un jour si on l'attaquait. La louve ne perçu plus du tout le cris de Wizz, et elle ce mit à le chercher. Elle regarda autour d'elle, ce demandant ou il pouvait bien être encore être passer.

« Cervelle d'Algue ? » L'appela t-elle en continuant de le chercher. Sa patte buta contre une pierre et elle étouffa un couinement. Elle jura dans son coin après la pierre. Sa patte était un peu douleureuse mais rien de plus, elle passa très vite. Ou était passer cette imbécile encore ? Elle marcha, toujours dans le noir complet, à la recherche du même. Toujours et encore le même. Sa voix avait finit en écho, Séléna s' arrêta un moment, elle observa le plafond de la grotte. Bizarre que sa voix avait doublée, triplée, quadruplée. Elle reprit sa marche, quand elle entendit un bruit dans un coin. Séléna dressa les oreilles et tourna son regard de glace qui balaya le lieux. Elle discerna un pelage blanc caché dans un coin. Elle soupira, prête à criser. La louve s'approcha de Wizz, la colère ce lisait dans ses yeux d'un bleu si parfait.

« Non mais ca va pas la tête de me laisser tomber comme sa ! » Hurla t-elle. « C'est pas le moment de jouer, y'a des rochers piquant, il fait noir et on pourrait ce perdre et ...» Elle continua de parler, de l'incendié.  

Séléna continua de l'incendier, tendis que Wizz sembait être déjà partis ailleurs. Il n'avait plus l'air de l'écouter, ce qui agaça la louve qui porta son regard de glace sur lui. Il paru réfléchir un moment, du moins c'est ce que pensais Séléna. Puis, il ce pencha pour lui faire un bisous sur le museau. La louve sauta en arrière, surprise. Séléna ne laissais jamais personne lui faire un acte affectif. Peu être parce que justement personne ne lui en faisait. Sa famille était spécial et pas vraiment du genre à sortir les mouchoirs et les calins. Elle avait été élever dans un climat ou elle devait être fortes, ce battre et non passer son temps à avoirs de l'affection. Alors, quoi de plus surprenant comme réaction  que celle ci ? Elle porta un regard surevolté à Wizz. Mais comme elle savait qu'il était idiot, il avait du faire sa sans aucune intention, sauf de la calmer. Donc ce serait quelque chose de bien ? Elle secoua la tête comme pour se débarrasser d'un mauvais rêve. Elle allait rappliquer quand elle ce sentit projeter sur le sol. Elle ce prit le sol froid dans la tête. Elle rouvrit les yeux et découvrit Wizz en position de défenses et en hurlant tout et n'importe quoi après une ombre. Non mais c'est pas croyable ! Séléna n'avait pas besoin qu'on la protège, elle savait très bien ce défendre toute seule. Si une chose que sa famille lui avait apprise c'était bien sa, ce défendre toute seule. Elle ce releva dans un grognement, puis rejoint Wizz pour s’apercevoir que l'ombre n'étais qu'un ridicule lapin.

« Je t'interdis de recommencer ce que tu viens de faire ! Nous ne somme pas amoureux à ce que je sache.» Commença t-elle en rappelant l'acte précédent. Séléna connaissait ce genre d'acte, c'est quand un loup et une louve s'aimait qu'ils ce produisait. Et elle n'était pas avec Wizz. Elle tourna alors vers lui, et son estomac tempesta. « De plus je sais me défendre parfaitement toute seule, je n'ai pas besoin d'aide. D'aucune aide.» Ajouta t-elle. Séléna était orgueilleuse, même dans une situation impossible elle refusait l'aide de qui que se soit. Elle n'avait besoin de personne, elle pouvait très bien agir comme elle voulait. Elle tourna en suite ton regard bleu vers le lapin qui n'avait même pas fuit à la vue des deux loups. Son ventre cria de nouveau rappelant sa faim. Elle se coucha sur le sol et fit un bond. Elle attrapa le rongeur en pleine volé et le mordit de toute ses forces. Il rendit son dernier soupir, puis elle déchiqueta un bout de viande de ses petits crocs qu'elle tendit à Wizz.