We'll never be royals ( PRIVÉ MONJA )

Elle était cependant en marche. Ne parlons pas d’une louve mais plutôt de l’horloge mondiale qui ne cesse jamais de s’arrêter même lorsque cela va mal. Vous savez, l’horloge aussi nommée « temps ». Mais ce n’est pas le problème en ce moment. Enfin, si un peu. Car en ce moment, les meutes commencent petit à petit à se remplir. Monja l’eu remarqué, et au niveau des Eileen, le retard commence à légèrement se sentir. Seule à dominer la meute, cela n’est pas vraiment facile. Mais ce post fût autrefois un choix que la louve de nacre décida d’accomplir, et des responsabilités qu’elle fût en mesure de prendre aussi. Sous les regards éblouis des mâles, sous les nuages blancs qui l’encerclaient, ils la prenaient vraiment pour une diva. Mais c’est bel et bien ça que Monja ne veut pas entendre. Ce n’est pas de ses habitudes de se faire passer pour une reine, une princesse avec les yeux bleus. Elle est belle certes. Mais sous les regards soumis et les loups inclinés à ses pattes, la dominante trouve qu’ils en font tous un peu trop. Depuis qu’elle fût nommée à titre dominante de cette meute pure et douce, Monja, louve de nacre étant maintenant âgée de quelques longues années et des miettes essayait, malgré tout ça, de changer de vision et de ne plus faire attention à ces beaux mâles prétentieux. La meute, une famille, un esprit sain et doux qui s’entraide à chaque difficultés rencontrées sur le chemin des Eileen, dirigée par Monja est en devoir de grandir et de persévérer. Les effectifs, plutôt en retard par rapport aux Ulym sont légèrement dérangent. Mais en cette après-midi mouvementée par les pensées négative de l’alpha, pourtant, une rencontre fera basculer les remords de la meute. De quoi s’agit-il ?

Il faisait assez chaud. Lourds et pesants, les nuages blancs s’accumulaient afin de former un centre autour d’une petite colline. Et comme par hasard, elle se trouvait là, au mauvais moment. Monja ne s’attendait pas à être dérangée comme ça, lorsqu’elle entamait sa sieste sur ses terres natales. La louve blanche décida d’un pas décidé de se lever avant de dévaler la pente à toute vitesse. La chaleur était toujours pesante, cependant un gros nuage s’installa au dessus de la tête de Monja. Cette dernière, fuyant celui-ci cavalait à toute vitesse pour rejoindre la Rivière Tarmenel. Elle voulut s’y réfugier et s’abreuver, mais lorsqu’elle arriva à cet endroit bien précis, quelque chose vint déranger la vigilance du loup. En effet, située non loin d’elle, une petite loupiote restait. Elle avait l’air perdue, et Monja ne savait pas quoi faire. En la voyant elle se rappelait le petit louveteau mit à l’écart par ses parents. Et d’un pas décidé elle avançait droit vers l’inconnu afin d’en savoir plus sur ce qu’il pouvait bien vouloir faire sur ses terres.

« Bonjour toi ! Sourit-elle. Que fais-tu ici toute seule ? Tes parents ne sont pas là ? »